Voyages

22 mai 2006

De l’utilisation judicieuse du transat


Pas le transat en bois ou plastique présent sur les bords des piscines, sur lesquels de reposés vacanciers refont le monde à la sauce Grisham [EN] ou Covey [EN]. Non, je veux parler du transat version bébé, celui qui permet à Camille, ma fille de trois mois de surveiller que Papa travaille correctement.

Et oui, la vie chez vinivi, c’est cela aussi : à la place du café ce matin, c’est réveil de l’angelot, biberon (une main quand même sur la souris pour passer de blog [FR] en blog [FR]). Ensuite dépôt de la merveille souriante dans son transat et retour à la case travail, sous son œil de Moscou (version cuirassé Potemkine sans l'escalier d'Odessa).

Ce que j’ai économisé sur le temps de transport, je le gagne en temps avec mes filles. La nouvelle parentalité ? patronalité ?

Cela amène une réflexion sur les nouveaux modes travail (travail à la maison, à distance, à temps partiel ou partagé) qui sont une bonne initiative. Sans entamer la productivité (si tant est que cette notion veuille encore dire qque chose), ils permettent d'avoir des gens plus détendus. C'est, à mon avis, une des clefs pour faire avancer tout le monde (l'individu comme l'entreprise).